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Tout est possible quand on le désir vraiment - zéro place au doute

"Tout le monde savait que c'était impossible, jusqu'à ce qu'un imbécile qui l'ignore se présente et le fasse." - Albert EINSTEIN

À propos de moi

Empathe, kinesthésique et claircognizante de naissance, je suis devenue kinésiologue, énergéticienne (magnétisme & reiki) et canal après un long parcours. Mon métier me permet aujourd'hui de mettre à profit mes capacités pour ceux qui souhaitent que je les accompagne. 

Ma vision : je mets des mots sur les maux et je répare des cœurs blessés, meurtris, brisés, esseulés, fatigués qui ont besoin d'être entendus et pris en compte. Nous avons tous des peurs, des croyances, des principes qui nous bloquent et nous limitent. Et nous faisons tous des erreurs car nous sommes là pour apprendre, c'est le fondement même de la vie. Mon rôle est de vous aider à vous réparer, à comprendre ce qui ce cache dans votre fonctionnement instinctif, à retrouver les clés de votre bonheur. Et non, il n'y a pas de solution miracle, vous devez écouter votre cœur pour le libérer même quand cela est difficile. Il n'y a rien d'insurmontable c'est seulement une peur, une croyance. On ne meurt pas d'un cœur brisé en revanche on se tue avec les sentiments que l'on s'impose par peur de souffrir à nouveau : rejet, abandon, humiliation, injustice, dégoût, colère, trahison. 

C'est parce que j'ai fait ce travail d’introspection, que je me sens légitime de pouvoir vous comprendre, vous aider et vous accompagner sur ce chemin. J'ai repris mes responsabilités, la maîtrise de mes choix, et je me suis libérée du regard des autres.
 

Enfant, adolescente et adulte toujours malade et mal dans ma peau, je ne pouvais / ne voulais pas entendre mon corps qui criait pourtant de tous ces maux.
 

Depuis mes plus lointains souvenirs, je me suis toujours sentie différente, trop fragile, trop sensible, trop malade, trop spontanée, trop impulsive, trop franche, trop grosse, trop …, trop…, trop !!! Je ne comprenais pas le monde qui m’entourait, mais je savais que je devais m’adapter, rentrer dans le moule et me fondre dans la masse. J’avais une vie intérieure très riche, c’était un besoin vitale de « m’évader ». Très jeune j’avais pour objectif d’être libre pour pouvoir créer la vie à laquelle j’aspirais. Ce besoin de liberté a motivé tous mes choix jusqu'à mes 36 ans, mais je me concentrais sur le comment être libre et non sur le pourquoi cette soif de liberté.
 

Chef d'entreprise à 23 ans, société vendue après la célébration des 10 ans, recrutée par l'acheteur pour faire la fusion, extérieurement ma vie avait l'air belle et toute tracée. Je ne me sentais pas légitime à me plaindre, je n'avais pas ce droit et quand l'envie m'en prenait j'étais envahie d'un sentiment de honte. J'étais pourtant rongée par un mal-être abyssale que mon corps essayait de me faire comprendre à sa façon, mais que j’ignorais scrupuleusement. Jusqu’à la goutte d’eau qui fit déborder le vase l'année de mes 36 ans, suite à une relation que je n'avais pas vu venir. Je n'ai plus réussi à "donner le change" et je commençais à me faire absorber par des comportements addictifs pour ne pas affronter ma réalité. Je ne maîtrisais plus rien. J’étais forcée de constater l’évidence : tous mes mécanismes de défense s'étaient retournés contre moi. Je ne pouvais plus nier. Moi qui prônais la sincérité, j’avais réussi à contourner ma propre vérité pendant toutes ces années, je devais revoir toute ma copie et faire une vraie introspection.
 

Je savais que le sourire que j'affichais sur mon visage, était de façade. Je ne supportais plus les mensonges et l'hypocrisie qui m'entouraient, mais dont j'étais l’actrice principale. Je découvrais tardivement l'ampleur de mon empathie et je réalisais qu'elle s’était retournée contre moi. En réalité, j'avais toujours fait pour les autres, fait ce que l’on attendait de moi et comblé les attentes des autres, je ne savais pas qu'il était à ce point possible de vivre dans les émotions et les besoins d'autrui, je m'étais perdue en chemin. Heureusement mon instinct était fort et savait se faire entendre quand je m'égarais trop loin de mon chemin en me rappelant à ma quête et mon besoin de liberté pour me forcer à prendre le large. 
 

À ce moment là, je me retrouvais sans société, ce qui était comme "sans identité" pour moi, et seule, le cœur brisé comme jamais à un âge où l'on ne vous dit plus ce que vous devez faire. Un âge où vous devez être capable de faire vos choix et savoir ce que vous voulez ... mais comment savoir ce que l’on veut quand on ne sait même plus qui l'on est !
 

J'étais en plein naufrage intérieur, je sombrais mais extérieurement j’étais toujours dans la maîtrise et j’affichais un grand sourire. Il était grand temps que je (re)fasse « ma connaissance ». 
Qu'avais-je fait de cette petite fille pleine de joie, de malice et d’audace avec des rêves plein la tête ? Je l’avais mise bien à l’abris loin du monde extérieur, et mon égo pensait la protéger mais il l’avait enfermée dans une belle prison dorée. 

 

C'est sur le chemin du retour à moi que j'ai trouvé comment remettre du sens dans ma vie, ce jour où je me suis dit que la kinésiologie était faite pour moi, mon corps et mon cœur ont tellement vibré de joie que le doute n'était pas permis. J’acceptais de mettre de coté mes études et mon expérience pour recommencer à zéro et reprendre mes études pour me former à la kinésiologie. Cette technique répondait à mes besoins : faire parler le silence, faire parler les maux. Le "prestige social" ne rentrait plus en ligne de compte, je n'avais plus besoin de l'aval des miens, je n'avais pas besoin de faire valider ma décision car j'allais faire quelque chose qui m'animait, qui me faisait vibrer, et où je pourrais enfin partager aux autres ce que je reçois de leurs énergies depuis toujours. J'allais enfin pouvoir exprimer ma vérité. Pour la première fois, le doute n'avait pas sa place, c'était mon choix et c'était le bon pour moi. 


Je prenais conscience que lorsque je suivais mon intuition, mon instinct, j’avais cette force, cette volonté qui pouvait me faire déplacer des montagnes. Ce ressenti jusqu’au plus profond de mon être qui ne laisse pas la place aux doutes. C’est à ce moment que je commençais à faire la différence entre intuition et mental. Mon mental me tenait prisonnière de mes peurs et de mes croyances, il me torturait et me faisait douter, alors que mon intuition me portait et me donnait la force de continuer même quand j'étais épuisée et que je n'avais plus la force. 
 

Mon corps a toujours communiqué depuis ma plus tendre enfance, mais comme j’ai du apprendre à « taire » mes capacités, je ne l’écoutais pas. C’est pendant ma reconversion lors de ma formation en kinésiologie, Reiki, magnétisme et soins énergétiques que j’ai appris à écouter à nouveau mon corps. Je remis des mots sur mes maux au fur et à mesure que j’avançais dans mon parcours. 
 

Pourquoi les maux ? 

Parce que mon mental était bien trop « costaud » pour laisser entrer un potentiel danger arriver jusqu’à la prison dorée qu’il avait construit pour me protéger. Je devais passer par mon corps pour me libérer. 

Voici quelques exemples de maux que j’ai remis en mots : otites, troubles gastriques chroniques, luxation des cervicales, bronchite, asthme, crise d’urticaire, tension intracrânienne , reflux gastriques, troubles hormonaux, surcharge pondérale, intolérances alimentaires, spasmophilie, anorexie / boulimie, vertiges, lumbago, sciatique, hémorragies digestives, endométriose, trouble de la vue,  mais aussi addiction en tout genre, accidents de voiture à répétition, TOC avec mes cheveux.

 

NB : attention je ne dis pas que cela permet d’arrêter un traitement médical sur une maladie installée. Mais cela permet d’aller chercher au delà des symptômes, d'aller chercher la cause et ce que le corps veut exprimer par ce biais. 

Quand une maladie touche le corps physique, c’est qu’elle a déjà traversé toutes les couches de notre aura mais que nous n’avons pas écouté les signes, notre intuition. 

 

Pour revenir sur le mal-être abyssale, après 9 accidents de voiture, dans un contexte familiale endeuillé par le décès de ma tante dans un accident de la route, mon corps avait besoin d'être entendu et ce fut l'objet de ma première séance. Les accidents m'avaient appris la résilience. Moi je ne perdais pas la vie dans les accidents alors je me devais de me relever et me reconstruire peu importe la douleur physique que je devais supporter. La réalité c'est que j'ouvrais pleinement mes capacités uniquement quand ma vie était en danger et on avait plein de choses à me transmettre. Mon corps se demandait jusqu'à quand j'allais le tester avant de lui faire confiance et exploiter cette mine d'or. Il était épuisé et les accidents de plus en plus violents, mais moi j'étais têtue et effrayée.
Lors de cette séance je compris à ma grande surprise que ce dont j'avais honte et que je pensais être ma plus grande faiblesse, se révélait être un atout incommensurable pour ma reconversion. Je remettais des mots sur maux, non je n'étais pas schizophrène ou bipolaire comme je l'ai souvent pensé, mais j’avais une intuition très puissante et des capacités vibratoires et énergétiques importantes*. Chaque pensée, chaque émotion, chaque douleur, etc. émet une vibration unique, et ces vibrations que je reçois se transforment dans mon corps en mot, son, image, ressenti, sensation ou douleur. C’est comme si le cœur et le corps d’une personne me confiaient ses secrets qui doivent être libérés ou entendus, ses peurs et ses désirs profonds. 

 

Pendant 38 ans cela a été mon secret car j’avais trop peur du jugement des autres, peur de passer pour une « folle », peur que l’on me traite de « sorcière », peur que l’on me rejette. J’avais peur de ne pas « survivre » au rejet de ma vraie personnalité, de ne pas trouver ma place. Et je vous le confirme, tout ce que je redoutais est arrivé car les gens jugent quand ils ont peur. Là où j’avais tord c’est que la réalité était bien moins difficile que ce que j’avais imaginé. J’ai survécu et j’en suis sortie plus forte, plus libre et plus heureuse.

Aujourd’hui, je pense que le jugement est une forme de jalousie, c’est un moyen pour les gens qui n’arrivent pas à sortir de leurs propres peurs et schémas de pensées de vous maintenir dans votre « confort inconfortable ». Maintenant quand j’ai peur je me demande quel désir se cache derrière cette peur !
 

J’ai détesté mon corps pendant des années pour ce qu’il me faisait vivre car c’était terrifiant et déroutant. Aujourd’hui je l’accepte. Je me devais d’être gentille car une partie de moi comprenais et compatissais malgré des agissements méchants et irrespectueux. Je me basais sur mes ressentis pas sur les faits. J’avais du mal à poser mes limites et je portais une culpabilité à ressentir ce que je ressentais des autres. 

 

Je vous raconte tout cela aujourd’hui mais le chemin n’a pas été facile. Cela fait des mois que je me torture à savoir comment "me raconter" sans faire peur ou heurter la sensibilité des plus cartésiens. Mais j'ai aussi besoin que les gens réalisent l'envers du décor pour les personnes hyperempathique comme moi. Mon monde à moi est intense, sans demi mesure il est aussi merveilleux que douloureux. Ma réalité est terrifiante parfois car elle est incontrôlable, invisible et souvent incompréhensible pour mon propre mental qui ne peut rationaliser /expliquer ce que j'expérimente. Je me suis sentie souvent seule, comme si j'étais soumise au secret. Je m'isolais souvent car la solitude atténuais ma douleur. Quand j'étais avec du monde je pouvais me sentir encore plus seule car je ne pouvais rien partager de ce que je voyais ou ressentais. 

Aujourd’hui quand je fais des soins au cabinet ou à distance, mon corps me fait un état des lieux de la personne, de ses douleurs physiques et émotionnels, et je les ressens comme mienne le temps que je conscientise et exprime ce qui doit l’être, et je fais un travail énergétique pour libérer ce qui est prêt à être libéré. Je le vois comme une discussion de cœur à cœur, l’un montre à l’autre la fréquence à laquelle il doit vibrer pour s’ouvrir. Ensuite par des impulsions électriques, le cœur va envoyer des messages au cerveau pour libérer ce qui doit l’être afin d’arriver à la fréquence désirée. Attention lors d’une séance je dis ce que vous avez besoin d’entendre et non ce que vous avez envi d’entendre parfois. 
 

Les « règles » de vie que l’on nous enseigne ne raisonnent plus avec ma réalité, avec mon quotidien. On nous conditionne et c’est un vrai combat de ne pas rentrer dans le moule que nous impose la société dont l’égrégore est très égo-centré : la loi du plus fort, quelle tristesse ! On nous impose de penser et de raisonner au lieu d’expérimenter et de vivre. On nous explique que si ce n’est pas « démontrable » alors ça n’existe pas ! On nous conditionne à obéir mais ce n’est pas notre objectif de vie !
Notre âme vient s’incarner pour apprendre des leçons, pour expérimenter et évoluer. Nous choisissons les blessures que nous venons vivre, il n’y a donc aucune fatalité et l’univers n’est pas contre nous. S’en remettre uniquement à la chance et au hasard, c’est refuser de prendre ses responsabilités.

 

Aujourd'hui je peux dire que j'ai retrouvé cette petite fille pleine d'audace, de joie et d'ambition, inarrêtable bien décidée à concrétiser mes rêves. J'ai trouvé les réponses à ma quête de liberté. J'avais besoin d'être libre de mon mental et de pouvoir aimer à ma façon car oui L'AMOUR est la réponse la plus puissante à tous les maux. Nous avons tous besoin et envi d'être sincèrement aimé-e pour qui nous sommes vraiment.
 

« Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait. » 

– Mark Twain.
 

«  Fait confiance à ton instinct, ton esprit acceptera plus tard quand il verra qu’il sera en paix »

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